Le Paris Volley souhaite mesurer une partie de son empreinte carbone et s’associe à trois structures : OnlyOne, Sayari et WeeztR.
Engagé dans une démarche éco-responsable depuis quelques années sous l’impulsion de son Directeur Arnaud Gandais, et également à travers l’association Match For Green qui accompagne les clubs dans leur transition environnementale, le Paris Volley continue son travail de transition écologique. “En ce début de saison 2021-2022, le Paris Volley constitue une nouvelle équipe de haut-niveau, mais cette fois-ci une équipe engagée sur le plan environnemental” explique dans un premier temps le club sur Linkedin. “Le Paris Volley s’engage dès le match contre Tours Volley Ball, ce mercredi 27 octobre à 20h00 à la salle Charpy, à mesurer une partie de son empreinte carbone.”
Le club de la capitale a donc souhaité s’entourer d’experts pour mesurer son empreinte carbone à l’occasion de ses matchs à domicile en co-créant un outil de mesure, avec 3 entreprises. La première est OnlyOne, fintech crée en 2018. Elle permet de mesurer l’empreinte carbone et propose aussi un service de coaching pour aider à sa réduction. La deuxième est Sayari, un bureau d’études BtoB qui développe et met en œuvre les métriques environnementales, carbone, biodiversité, et économie circulaire. Enfin, la start-up WeeztR, créée début 2021, est une plateforme de services proposant des expériences phygitales immersives engageant les communautés de fans et de sportifs.
“Ce nouveau « calculateur » va permettre une première comptabilité en associant l’ensemble des informations récupérées à la base carbone de l’ADEME (Agence de la Transition Écologique) : la mobilité des participants (bénévoles, partenaires, personnel, joueurs et spectateurs), l’offre de restauration proposée, et le matériel utilisé” précise enfin le Paris Volley, qui a aussi la volonté d’analyser sa consommation énergétique ! Le club de la capitale souhaite, à travers cette initiative, sensibiliser ses fans et ainsi mobiliser sa communauté à tenter de la réduire.
© Photo à la une : Fabienne Ponin